• JOHNNY HALLYDAY ET LE THEATRE
    LE PARADIS SUR TERRE 
    Johnny Hallyday incarne "Chicken" un personnage bourru et sarcastique dans cette pièce de Tennessee Williams, adaptée pour la première fois en France.
    Johnny Hallyday connaissait son texte "au cordeau", sans aucune hésitation, avec le ton et les variantes nécessaires à l'intrigue. Pendant deux longs monologues, il ne fait aucune faute. Il est SANS oreillette, sans souffleur, sans prompteur et sans anti-sèches, n'en déplaise à ceux qui se sont gaussés à l'avance. Il a bossé, ça se voit, ça s'entend, et il a vraiment réussi son pari : "J'ai envie de faire des choses que je n'ai pas encore faites avant que je ne puisse plus les faire", avait-il déclaré.
    Les partenaires de Johnny sont Audrey Dana et Julien Cottereau 
    La Pièce : Dans le Mississipi des années 60, Loth, accompagné de sa femme Myrthe, réinvestit la ferme de son enfance où vit toujours son demi-frère Chiken. Le cyclone menace et la plupart des habitants ont fui l'inondation. Dans cette atmosphère de catastrophe, les deux frères s'affrontent pour la maison, pour Myrhte. Deux hommes blessés par l'existence : l'un atteint dans son corps par la tuberculose, l'autre dans sa vie sociale et amoureuse par les soupçons de " sang noir " qui entourent sa naissance marquée par le poids de l'adultère.
    Tout autour les eaux montent…
    AUTOUR DE LA PIECE 
    "Une salle conquise par avance qui se lève dès le lever de rideau, s'extasie à chaque réplique de l'idole, applaudit entre chaque scène et salue à la fin, debout, par une clameur digne d'un stade." Le Parisien 
    « Une sincérité touchante et une motivation indiscutable. […] Mise en valeur dans un décor superbe, des lumières et des musiques au diapason, Bernard Murat ne pouvait offrir un plus bel écrin à Johnny Hallyday pour son baptême du feu sur les planches." Le Figaro 
    « Il a une vraie présence, physique, animale, obtuse, douloureuse, celle d'un être fruste qui souffre d'une incapacité à exprimer son tumulte intérieur. Il est émouvant. » Philippe Tesson pour Le Figaro Magazine

    Pièce de Tennessee William
    Mise en scène de Bernard Murat
    Du 6 septembre 2011 au 19 Novembre 2011 au Thèâtre Edouard VII à Paris

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