• Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • JOHNNY HALLYDAY 
    R UBRIQUE FILMOGRAPHIE / ANNEE 1987
    TERMINUS 1987
    Johnny Hallyday : "Manchot"

    Résumé : Une sorte de Paris-Dakar pour gladiateurs se déroule dans un futur proche. Monstre (camion équipé d'une haute technologie) est piloté par Gus qui doit rejoindre Terminus avant ses adversaires. Elle est arrêtée par des soudards qui la mettent hors-jeu. Elle passe le relais à Manchot (Johnny Hallyday). Mais la course est un leurre afin de permettre l'entrée d'un engin qui collecte de sang humain pour des expériences de clonage menées par les maîtres de Terminus. Nous sommes dans un XXIème siècle barbare et technologique agrémenté d'une très belle photographie.
    Dénué de rythme, de direction d’acteur, voire de trame digne de ce nom, Terminus se traîne péniblement sans que le spectateur ait la possibilité de s’y projeter et de s’y intéresser.
    Confidences de Johnny : …« Terminus, j’accepte de le faire pour fuir Paris. Pour être loin de Nathalie. Nous devons tourner en Hongrie. Ca me va très bien. Quand rien ne va plus sentimentalement, un seul remède : travailler comme une brute pour oublier. Pierre William Glenn n’est pas un inconnu. Diplômé de l’Institut des hautes études cinématographiques, il a été directeur de la photo sur plusieurs films de Truffaut et chef-opérateur aux côtés de Bertrand Tavernier. Je lui fais confiance, d’autant que le budget du film est rassurant : plus de soixante millions de francs, l’un des budgets cinématographiques les plus importants de l’époque……On me coupe les cheveux en brosse. On les teint en blanc. J’étais très excité… J’ai vite déchanté ! »…… « Au bout de deux mois, on en avait ras le bol. On passait son temps à attendre… Et quand ça a été fini, il a fallu affronter les critiques. Terminus, tout le monde descend… Le verdict que Tony Franck et moi avions pressenti ! Pas de mystère. Dans un spectacle, si je me trompe et que je me casse la gueule, je reconnais mes torts... Glenn a-t-il reconnu les siens ? Un flop magistral… Terminus aura au moins servi à lancer la mode des cheveux ras et blancs »…
    Réalisation : Pierre-William Glenn 
    Sortie : 1987.

    Johnny Hallyday, en coiffure blanche à la Jim Jarmusch, est un anti-héros combattant non seulement le système mais les puissants habitants du monde extérieur (comme l’Europe de l’Est) sur le territoire duquel le jeu de conduite de camion est joué. Johnny Hallyday a une petite compagne qui est la clé de l’intrigue, jouée par la fille du réalisateur.

    Si Helmer Pierre-William Glenn est l’un des meilleurs cinéastes français, dont le travail est synonyme de qualité, le film n’est pas mauvais mais clairement non-compétitif contre d’autres films  de science fiction.

    Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Google Bookmarks

    votre commentaire